Programmes du vendredi 15 novembre 2019
Dans un train, six hommes s'entretiennent de leurs aventures sentimentales. Guillaume a publié le récit mensonger d'une de ses liaisons et récolté les fruits de sa légèreté. En vacances dans un hôtel, Francis est tombé amoureux d'une pianiste. Justin a jeté son dévolu sur la propriétaire d'un caniche. Mais par sa faute, le chien a trouvé la mort. Robert s'est épris d'une hôtesse de l'air et l'a suivie jusque dans un avion à destination du Mozambique. Malade, il a dû être rapatrié. Lors d'une chasse à courre, Emile a séduit la jeune femme qu'il destinait à son fils. Le sixième voyageur raconte alors l'aventure d'un thanatopracteur qui, un jour, a réinsufflé la vie à une défunte...
Benoît et Pierre forment un duo d'amis inséparables. Pierre a passé son temps à charmer, tandis que Benoît cherchait plutôt à réussir sa vie. Mais quand Benoît rencontre Marie, il s'en éprend tout de suite et l'épouse dans la foulée. Pierre est toujours là, témoin du bonheur conjugal de son ami et de l'épanouissement de son épouse. Mais Pierre est, lui aussi, amoureux de Marie et finit par le lui avouer. Choquée, la belle tente de décourager son soupirant par tous les moyens. Mais Pierre n'est pas disposé à entendre raison. Prêt à tout pour atteindre son but, il fait une cour assidue à Marie, abandonne son travail et son appartement et, finalement, s'installe dans la vie du couple...
Paris, 1966. Au cours d'un entretien avec son épouse et le réalisateur du film, le vieux prince Youssoupov se souvient des dramatiques événements qui l'ont conduit à assassiner Raspoutine, cinquante ans plus tôt. En 1909, à Saint-Pétersbourg, alors que la Russie impériale se décompose irrémédiablement, Raspoutine, un moine débauché et manipulateur, a pris assez d'ascendant sur la tsarine pour imposer toutes ses fantaisies et entraîner la cour dans ses orgies. Pour Youssoupov, dandy efféminé, et ses amis, Raspoutine, symbole de la décadence, doit être anéanti. Sous prétexte d'un rendez-vous galant, ils l'attirent dans un guet-apens et tentent de l'empoisonner...
Installé à Boissy, dans l'Isère, David Martinot a l'apparence d'un comptable bien tranquille. Il prétend passer tous ses week-ends auprès de ses parents. En réalité, ces derniers sont morts depuis longtemps et David consacre tout son temps libre à l'aménagement d'un chalet isolé qu'il a fait construire pour Lise, son amie d'enfance. Si lui l'aime d'un amour passionné et s'il est prêt à toutes les folies pour la contenter, la jeune femme, de son côté, est mariée, mère de famille et ne veut pas de lui. Or David, dans sa folie, feint d'ignorer ces faits incontournables. Juliette, une voisine amoureuse de lui, découvre son secret...
Léon Dutilleul, un modeste fonctionnaire, possède la faculté de traverser les murs. Heureuse disposition qui lui permet d'explorer aussitôt la vie secrète de Paris. Au cours de l'une de ses expéditions, il se lie d'amitié avec une souris d'hôtel, Suzan, qu'il suit avec une certaine excitation dans ses cambriolages. Il ne tarde pas à s'éprendre de la belle. Pour mieux la conquérir, il se fait passer pour le terrible gangster Garou-Garou. La jeune femme n'est pas la seule à croire à ce mensonge. La police se laisserait bien convaincre, elle aussi, par cette interprétation. Léon, qui n'avait pas prévu la chose, est arrêté...
Une trentaine d'anciens appelés originaires de Grenoble évoquent, avec une mémoire intacte, vivante et précise, «leur» guerre d'Algérie. Leurs souvenirs défilent. La peur. La mort des copains. La torture. Le sang. La violence que l'on découvre en soi. Les inquiétudes des proches et le contraste entre la douceur d'un pays ensoleillé et la noirceur des drames qui s'y jouent. La comédie des fausses nouvelles. Certains finissent leur vie dans des hôpitaux psychiatriques. Qu'ils aient servi dans les paras, les commandos ou les chasseurs, dans le génie ou sur les barrages électrifiés, tous ont été profondément atteints et changés par cette guerre qui, officiellement, n'en a jamais été une, et que l'on a maquillée sous le nom commode d'«opérations de maintien de l'ordre»...
Philippe Clarence est un grand couturier parisien qui travaille dans la fièvre et l'excitation. En grand séducteur, sa folle activité ne lui fait pas pour autant oublier les femmes, loin de là, mais il estime qu'en dehors du travail, la passion est plus un handicap qu'un atout. Anne-Marie, la responsable des ventes, qui fut sa maîtresse, accepte de vivre humblement dans son ombre. Elle a été remplacée dans le coeur de Philippe par un mannequin, Lucienne. Un jour, un hasard vicieux met Philippe en présence de Micheline, la fiancée de Daniel, un ami lyonnais. Fidèle à ses habitudes, Philippe entreprend de conquérir la belle. Il ne soupçonne pas encore la profondeur des sentiments qui l'animent...
Bien qu'elle n'ait pas la vocation religieuse, Suzanne Simonin est contrainte d'entrer au couvent. Ses parents en ont décidé ainsi parce que le patrimoine familial s'est épuisé en dotes pour ses soeurs aînées. Novice au couvent de Longchamp, elle est prise en main par madame de Moni, qui lui enseigne à supporter son sort et la traite de manière maternelle. Elle parvient à convaincre Suzanne de prononcer ses voeux. Quant aux autres soeurs, elles la traitent différemment : si l'une d'elles se comporte avec Suzanne avec un sadisme évident, l'autre, elle, la presse de son brûlant désir charnel. Mais Suzanne n'est pas précisément du bois dont on fait les prie-Dieu...
En Indochine, le 13 mars 1954, l'armée française attend de pied ferme l'ennemi viêt-minh dans la vallée de Diên Biên Phû. Dans un bar de Hanoï, Simpson, un journaliste américain, retrouve un ancien ami, le capitaine de Kervéguen, en compagnie de sa cousine, la violoniste Béatrice Vergnes. A minuit, on annonce que le Viêt-minh a pris l'une des collines entourant Diên Biên Phû. Kervéguen et ses camarades sont appelés d'urgence pour être largués au-dessus de la cuvette. Les hommes sont admirables de courage, mais cela ne suffit pas. L'ennemi est le plus fort et fait tomber les positions une à une. Les blessés s'accumulent. La défaite semble inévitable...
Elevé en Bretagne, dans le pays bigouden, Pierre-Jacques se souvient de son enfance, du début du XXe siècle à la fin de la Première Guerre mondiale. Du mariage de ses parents, de la misère qui sévissait au moment de sa naissance, de son grand-père dur et fier, de l'orgueil de sa famille et des paysans. Ce travail de mémoire est aussi l'occasion d'une plongée au coeur des fêtes et des coutumes de cette terre chouanne. Pierre-Jacques se rappelle les légendes et les jeux de son enfance. Il se remémore aussi la déclaration de guerre de 1914, qui obligea les hommes à partir au front, laissant les femmes s'occuper seules des terres. Il se souvient enfin de ceux qui sont partis, parfois à tout jamais...
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